La diseuse de bonne aventure du 1.03.1956
Au lieu de La cartomancienne – sujet dont il peignit plusieurs variantes –, Serge préférait intituler ce genre de toile La diseuse de bonne aventure ou bien La tireuse de cartes. Titres, il est vrai, plus romanesques, et sans aucun doute plus en phase, via son ascendance italienne, avec son sens inné à la fois du théâtre, de la mise en scène et du mystère de la destinée.
Photo Robert Doisneau
Cette sorte de moderne pythie avait été acquise lors d'une exposition parisienne par l'actrice Danièle Delorme, épouse du réalisateur Yves Robert.
Comme Un petit orchestre d'estrade, Le baiser, ou encore La baraque de tir, cette œuvre, peinte sur isorel, fait parmi tant d'autres partie de celles dont Serge fut inspiré au cours de sa fréquentation des fêtes foraines de village une fois installé à Montjustin. Cela après que sa mère lui en ait tout d'abord un jour soufflé le sujet.
D'une autre, de 1959, et que voici, Claude-Henri Rocquet, écrit ceci page 67 et 68 de son Rêver avec Serge Fiorio :
Ma première visite à Montjustin...par François-Mangin-Sintès
Claude-Henri Rocquet saluant la première exposition Fiorio posthume de l'été 2011 à Reillanne
L'atelier par Claude-Henri Rocquet
Robert Doisneau en l'un de ses portraits du peintre Serge Fiorio
Portrait à la Robert Doisneau par François Mangin-Sintès
Sur les traces de Serge Fiorio, 1/5, par Gautier
Sur les traces de Serge Fiorio, 2/5, par Gautier
Sur les traces de Serge Fiorio 3/5, par Gautier
Sur les traces de Serge Fiorio 4/5, par Gautier
Pour faire le portrait d'un agneau : scène de la vie à Montjustin, fin des des années 50