Lucienne cite Norge.
Lucienne avait - on la comprend ! - une fervente et haute admiration pour la poésie de son beau-père Norge, son talent et son esprit. Moins pour l'homme lui-même. À son décès, en 1990, c'est elle qui se chargea d'établir avec soin et de faire publier Les hauts cris, le premier recueil posthume composé alors d'encore tout récents inédits.
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Une si libre joie est le défi de l’homme... Tu m’as appris, cher Norge, à tenir ce défi. Tu m’as donné le goût de la parole claire et savoureuse, familière. Tu m’as conduit vers le mystère du vin profond. Haut les cœurs ! disais-tu. Norge, ô grand chêne ! Ton amitié s’est mêlée à ma vie.
(L’arbre est vivace
et franchit le temps)
Claude-Henri Rocquet.
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Lucienne Desnoues-Jean Mogin et Les collines du dimanche
Lucienne Desnoues : préface aux Fables d'Étalon Naïf
Desnoues-La Fontaine, douze fables consanguines
Pour les cent ans des Mogin
Les Mogin, un trio de choix
À propos de Lucienne Desnoues dans une lettre de Natalie Clifford Barney à George-Day (nom de plume d'Yvonne Debeauvais)
Lucienne Desnoues : Au rouge-gorge assorti de deux citations
Jean Mogin
Lucienne Desnoues.Quelques lignes et une photo
Fabuleuse Lucienne ! 5. Fablier : bon de commande
Le livret Trois de Montjustin
Rencontre et article de Claude-Henri Rocquet
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Faire vivre la poésie par Jean-Luc Pouliquen