Marc Jean : du forgeron au concessionnaire automobile
Bien que ne rentrant pas, à priori, dans l'éventail des sujets abordés au sein du blog Fiorio, je souhaite cependant faire, pourquoi pas, une exception : y atttirer l'attention sur l'un des récents ouvrages d'un forcalquiérain de souche, Marc Jean.
Bonne lecture, espérant avoir été assez convaincant !
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J’aime ce genre d’ouvrage où l’épopée individuelle peu banale de quelque personnage de caractère, réel en tout cas et plus ou moins haut en couleur, le dispute à un palier de l’Histoire en train de se faire ; nous le fait, page à page et, en le cas,... Lire la suite
Essai Art de vivre Histoire Récit
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Un addenda de notre ami André Poggio
Le nom d'Henri Jean m'a fait souvenir d'une carte, trouvée dans quelque archive. Une carte qui nous ramène en 1935.
Cette année-là, eut lieu à Forcalquier la dernière des 10 saisons d'art que Marcel Provence organisa dans les Basses-Alpes.
La manifestation dura 3 jours, du 31 août au 2 septembre, et fut baptisée "fêtes anglo-provençales" à cause du choix de son thème principal, la commémoration du mariage d'Eléonore, fille du comte de Forcalquier, avec le roi d'Angleterre Henri III en 1235.
Voilà pour le côté anglais.
Pour le côté provençal, les forcalquiérens furent invités à revêtir leurs costumes traditionnels.
Mais, plus étonnant, et ce qui nous ramène au sujet du jour, certains utilisèrent à l'occasion la langue provençale pour faire leur publicité : témoin cette carte que fit imprimer Henri Jean.