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Serge Fiorio - 1911-2011.
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Serge Fiorio - 1911-2011.
  • Actualités de l'œuvre et biographie du peintre Serge Fiorio par André Lombard et quelques autres rédactrices ou rédacteurs, amis de l'artiste ou passionnés de l'œuvre. Le tout pimenté de tribunes libres ou de billets d'humeur.
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Serge Fiorio - 1911-2011.
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1 octobre 2019

Le Corps adossé à un fusil baissé...par Jean Benoist.

   Voici, après Ciel, terre et rêve écrit à propos de la peinture de Serge qu'il a bien connu et dont il a fréquenté l'atelier, un autre texte de Jean Benoist concernant cette fois une œuvre très particulière du martiniquais Joseph René-Corail« un peintre, écrit-il, qui a été un ami et que j'appréciais beaucoup. »

L'admiration et l'amitié de Jean Benoist pour la peinture Fiorio me sont évidemment un bon et même excellent prétexte pour partager en ce blog, pourtant d'ordinaire exclusivement consacré à la vie et à l'œuvre de Serge, la lecture de cette page superbe, très forte tout comme l'est en premier lieu son sujet.
Celle-ci est extraite de La peinture en Martinique, publié sous la direction de Gerry L'Étang, HC Éditions, 372 pages, Paris 2007.

rene_corail (1)
Le peintre Joseph René-Corail. Photo Jean Benoist.

  Le Corps adossé à un fusil baissé, l’homme souffrant n’a de geste que de compassion. La main libre se détourne de l’arme, pour relever l’implorant qui s’effondre. Dans l’auréole diffuse de la lumière, le visage dit l’affection attentive et ne montre rien de sa douleur. Par sa matière qui semble minérale, le tableau aurait pu dire l’indifférence. C’est le contraire qui se passe. Comme s’il était le Dieu de Michel-Ange à la Sixtine, le peintre a tendu le doigt vers l’argile, et la matière est devenue vie. René-Corail savait-il qu’il traçait un autoportrait en représentant ce Christ ?

Christ Benoist

Au-delà d’un tableau, hors de tout paysage, cette calligraphie dit, en la seule figure d’un idéogramme, tout le malheur et tout l’amour du monde. Et dit aussi tout de celui qui l’a tracée. Quand il parlait de lui-même, et aussi dans certains de ses silences, affleurait cette douleur masquée, douleur intime mais aussi douleur-communion qui l’a conduit à ne rien esquiver des solidarités avec les gens de sa terre.

Mais, passé l’age des révoltes, c’est en lui que le combat s’était porté… Car la fin des révoltes, c’est aussi l’extinction des lumières, le passage de l’espoir à l’ennui chez les faibles, à l’amour chez les forts. Mais ce combat enfoui en lui le ravageait. L’ironie de son sourire, le plissement complice de ses yeux, portaient en eux à la fois un appel et un doute. Doute d’un homme cassé, d’un errant qui connaissait sa force, et ne parvenait à la traduire qu’en la jetant dans son art, où elle est tout entière rassemblée.

Cette œuvre parle de lui plus qu’il ne l’a jamais fait, si ce n’est certains soirs de confidence, comme dans cette salle de Fonds Saint-Jacques, au bruit des insectes de la nuit antillaise et devant le verre qui l’animait. Il ouvrait alors son trésor. Car il y avait trésor. Tout au fond de lui, d’abord, cette force. Elle ébauchait des œuvres qui semblaient destinées à demeurer en lui, tant leur accouchement impossible l’aurait déchiré. Taureaux enfouis dans la cave de l’être, monstres sombres, qui se dégagent de l’argile, personnages hachés, comme reconstruits après quelque broyage. Sa signature elle-même semblait faite de morceaux recollés.

Cette force ne sortait que par éclats, par éclatements, faute d’oser prendre son plein essor. Dans un autre lieu, en un autre temps, il aurait pu être un Rodin, mais il a choisi de voltiger entre les parois de son île, qu’il a ornées de fresques et de statues, tous fragments projetés de lui-même, comme  ces couleurs que déposent les ailes des papillons.

Mais ce Christ guerrier dit la paix. Embroché sur son arme, il est fait de lignes douces. Le halo de lumière qui entoure son visage anime un nouvel espoir. Le mourant est le plus fort ; il est celui qui soutient l’effondré, celui à qui s’accroche la femme qui souffre de voir mourir son fils. Le tableau-idéogramme dit que le vaincu de la révolte est rendu fort par ceux qu’il soutient dans l’ombre.

L’homme cassé qui tentait de se recoller dans ses œuvres, l’homme cassé porteur d’une force somptueuse qui ne sortait que dans quelque pénombre, a créé là une lumière triste mais apaisée. Ces lignes adoucies sont la prière de cet errant de l’intérieur, de cet incroyant qui modèle le Dieu absent aux couleurs de la terre martiniquaise.

Devant le tragique doux de ce tableau, je revois son sourire, un sourire de dérision moqueuse qui soulignait l’immense appel de ses yeux à la tendresse.

Jean Benoist

* 

Ciel, terre et rêve.
Dans le sillage de la pensée de Jean Benoist. 
Trois outils. 

 

*
Traduzione a cura di Agostino Forte :

Il corpo accollato a un fucile ribassato ... (di Jean Benoist)

   Dopo Cielo, terra e sogno, scritto a proposito della pittura di Serge - che l'autore conobbe molto bene e di cui frequentò l'atelier -, presentiamo un altro testo di Jean Benoist, questa volta relativo a un'opera molto particolare, quella del martinicano Joseph René-Corail, « un pittore, scrive, che fu amico apprezzatissimo. »

Per quanto questo blog sia di solito consacrato esclusivamente alla vita e all'opera di Serge, l'amicizia e l'ammirazione provati da Jean Benoist per la pittura di Fiorio ci sono quindi di eccellente pretesto per condividere la lettura di questa pagina stupenda, notevole, tanto quanto il soggetto trattato.
Il pezzo è tratto da "La pittura nella Martinica", pubblicato da HC Éditions, sotto la direzione di Gerry L'Étang.

                                                                                                                          christ

" Il Corpo accollato a un fucile ribassato, l'uomo sofferente ha solo il moto di un gesto compassionevole. La mano libera si discosta dall'arma per sorreggere il supplice che s'accascia. Nella diffusa aureola di luce, il volto dice la premurosa affezione occultando qualsivoglia dolore. A causa di quella materia che sembra minerale, il quadro avrebbe potuto comunicare distacco. Ma è il contrario. Come fosse il Michelangelo alla Sistina, il pittore ha teso il dito verso l'argilla, trasformando l'inerte in vita. Rappresentando questo Cristo, sapeva il nostro René-Corail di tracciare una sorta di autoritratto?

Più di un quadro e oltre ogni paesaggio, questa calligrafia dice, nell'unica figura di un ideogramma, tutta la pena e tutto l'amore del mondo. E dice tutto anche di colui che l'ha tracciata. Quando parlava di sé, persino in alcuni dei suoi silenzi, affiorava questo dolore mascherato, dolore intimo ma anche dolore-comunione che l'ha portato a non evitare mai la partecipazione con la gente della sua terra.
Ma, passato il tempo delle rivolte, la lotta si trasferisce in lui ... Perché la fine delle rivolte, è anche l'abbassarsi delle luci, il passaggio dalla speranza alla noia per i deboli, all'amore per i forti. Ma questa lotta racchiusa in lui lo devastava. L'ironia del suo sorriso, la complice pieghettatura degli occhi, portavano in loro un richiamo e un dubbio. Dubbio di un uomo affranto, di un errante che conosceva la sua forza e riusciva a tradurla solo trasferendola nella sua arte, dove è interamente raccolta.
Quest'opera parla di lui più di quanto egli abbia mai fatto - come in questa sala di Fonds Saint-Jacques -, eccetto per qualche serata confidenziale, col rumore degli insetti della notte antillana e accompagnato da un ravvivante bicchiere. Allora schiudeva il suo tesoro. Perché un tesoro c'era. Prima di tutto, quella forza al suo fondo. Essa delineava delle opere che parevano destinate a restare in lui, tanto la loro impossibile nascita l'avrebbe straziato. Tori nascosti nelle caverne dell'essere, oscuri mostri che si liberano dall'argilla, personaggi di frammenti, come ricostruiti dopo una triturazione. La sua stessa firma sembrava fatta di pezzi raccomodati.
In mancanza dell'azzardo di prendere il volo, questa forza usciva a schegge, per frammentazione. In un altro posto, in un altro tempo, avrebbe potuto essere un Rodin, ma ha scelto di svolazzare tra le pareti della sua isola da lui ornata di affreschi e statue, tutti frammenti proiettati da se stesso, come quei colori che rilasciano le ali delle farfalle.
Ma questo 'Cristo guerriero' racconta la pace. Infilzato alla sua arma, è fatto di linee dolci. L'alone di luce che ne attornia il viso anima una nuova speranza. Il morente è il più forte; è colui che sorregge il prostrato, colui a cui s'aggrappa la donna che soffre a vedere morire il figlio. Il quadro-ideogramma dice che il vinto della rivolta è reso forte da coloro che sostiene nell'ombra.
L'uomo frantumato che tentava di ricomporsi nelle sue opere, l'uomo demolito e portatore di una forza spettacolare che prendeva vita solo in qualche penombra, quell'uomo ha lì creato una luce triste ma calma. Quelle linee raddolcite sono la preghiera di questo errante dell'interiore, di questo miscredente che modella il Dio assente coi colori della terra martinicana.
Davanti alla tragicità mite di questo quadro, ritrovo il suo sorriso, un sorriso deridente, irrisorio che sottolineava l'immensa supplica dei suoi occhi alla tenerezza. "

Jean Benoist

 

                                                                                                                       khokho

 

 Cenni biografici generali

Joseph Sainte-Croix René-Corail, detto Khokho René-Corail, artista di primo piano in Martinica, nasce il 14 settembre 1932 a Beaufond, nelle campagne delle Trois-Îlets.
Nel 1941 segue gli insegnamenti di materia artistica dispensati da Fernand Peux, il cui incontro sarà determinante per la sua vocazione artistica.
Nel 1943, a seguito degli auspici del Consiglio generale, in carica l'allora governatore Georges Louis Ponton, viene creata  la 'Scuola di Arti applicate'. Lo scopo di questa scuola era « l'utilizzo delle ricchezze della Martinica, sia materiali che pittoresche, nonché il sentimento artistico e l'abilità dell'artigiano antillano, per sviluppare un artigianato locale di qualità e dare ai migliori la possibilità di rivolgersi verso le grandi scuole d'arte della metropoli ».
Nel 1948 René-Corail entra alla 'Scuola di Arti applicate' (École des arts appliqués), sezione di ceramica - qualificata da sua madre come Scuola degli asini applicati (École des ânes appliqués) -, dove nel volgere di due anni, in luogo dei tre richiesti, René-Corail ottiene il diploma e parte per proseguire i suoi studi a Parigi, alla 'Scuola superiore di Arti applicate', dove avrà principalmente per insegnante Pierre Roulot.
Nel 1952, a Savigny-sur-Orge, soggiorna presso i coniugi Ménil dove realizza oggetti in ceramica. Ancora laboratori nella provincia, nuovi soggiorni sulla Costa Azzurra a Cannes, a Vallauris, dove realizza ceramiche per Yves Montant e Simone Signoret. Brevi frequentazioni con Picasso che non impediscono un'intensa collaborazione con torniture e stampi per il Maestro.
A 21 anni, nel 1953, è chiamato alle armi ma dichiara il suo rifiuto a svolgere il servizio militare. Considerato come un disertore viene comunque integrato, senza alcuna sanzione, nell'esercito francese. Trasferito in Tunisia si troverà a fronteggiare i disordini che vi si svolgono. Dimostratosi un pessimo soldato verrà rimpatriato in Francia.
Nel 1956, rifiutando il richiamo in occasione della Guerra d'Algeria, da lui definita come "macelleria d'uomini", decide di rompere con l'obbligo militare coloniale. Ritorna in Martinica dove diviene professore alla 'Scuola di Arti applicate', che già lo vide allievo, insegnandovi ceramica e iniziando a sperimentare con nuovi materiali come bambù, metalli, tessuto. Con Alexandre Bertrand e Dumas Jean-Joseph, impianta un 'Centro d'Arti e Mestieri' e contemporaneamente mette a punto una tecnica di fabbricazione tramite una particolare terra della Martinica, una terra rossa, impegnativa e tuttavia capace di concretare un tipo originale di ceramica.
Il 1960 vede le sue dimissioni dalla 'Scuola d'Arti applicate' ma anche la continuazione delle sue ricerche che daranno esiti nella creazione di presepi reinterpretati in stile martinicano (stalla in cocco e santoni creoli); arazzi con scene di vita quotidiana, combattimenti di galli, taglio della canna, carnevali; su richiesta di Robert Rose-Rosette, allora sindaco di Trois-Îlets, cura l'organizzazione di laboratori orientati allo studio dei materiali autoctoni finalizzati alla loro trasformazione artistica, oltre a una valorizzazione delle vocazioni artistiche giovanili e la creazione di un centro artigianale; rivalorizzazione della ceramica e del vimine, lavorazioni quasi in via di sparizione. Sempre sotto la direzione di René-Corail, un nuovo laboratorio nasce e inizia a produrre a Saint Esprit, grazie al sindaco Georges Fitte-Duval. Amante della natura e fervente difensore della cultura del suo paese si impegna nella fondazione dell'Organizzazione della Gioventù Anticolonialista della Martinica (OJAM - Organisation de la Jeunesse Anticolonialiste de la Martiniquaise); se ne legga una versione del testo alla fine delle note biografiche.
1962. Creazione de «Le anime del purgatorio», sei sculture in metallo per la chiesa di Bellefontaine; la scultura «Cuore immacolato di Maria», sulla facciata della chiesa di Bellevue si pone come l'avvento di un nuovo tipo di arte religiosa nel paese. A Parigi partecipa a mostre organizzate dal Ministero della Cultura ottenendo una medaglia d'oro per un arazzo patchwork e un'altra per una delle sue sculture in metallo.
1963. Affare OJAM. René-Corail è arrestato e successivamente trasferito in Francia nella prigione di Fresnes. E' un prigioniero politico ma quattro mesi più tardi verrà prosciolto e rilasciato. Ritorno in Martinica.
1971. Su richiesta di Aimé Césaire, realizza l'omaggio alle lotte del popolo martinicano con la statua di Piazza 22 maggio, a Trénelle, Fort-de-France.
1973. Affresco monumentale a Le Vauclin sul tema «La pesca e il mare».
1982. Scultura monumentale «Mémorial Frantz Fanon», realizzato a Macouba, su richiesta di Marcel Manville e Victor Permal, del Circolo Frantz Fanon.
1983-1998 si susseguono impegni ed eventi
Il 13 febbraio 1998, Khokho Joseph René-Corail muore nell'indigenza, lì dov'era nato.
Una biografia ben più dettagliata è fruibile, in lingua francese, andando a http://www.potomitan.info/bibliographie/khokho1.php  

dal quale peraltro sono tratte queste note parziali.

                                                                                                                                                 *TESTO DEL MANIFESTO DELL'OJAM

Il Manifesto dell'OJAM venne affisso sui muri della Martinica tra il 23 e il 24 dicembre 1962 da un gruppo di giovani militanti anticolonialisti ad alcuni dei quali costerà la deportazione verso la « metropoli » a causa di un delitto d'opinione e attentato alla sicurezza dello Stato, con un periodo di detenzione nelle prigioni francesi.

                                                                                                                     Martinique aux martiniquais

« Nel dicembre 1959, tre figli della Martinica, BETZI, MARAJO, ROSILE, cadevano vittime dei colpi del colonialismo francese. Questo sacrificio mostrò alla gioventù del nostro paese la via dell'emancipazione, della fierezza, della dignità. Lasciato per tantissimo tempo nelle tenebre della storia, il nostro popolo mette in campo, giorno dopo giorno, una resistenza sempre più vigorosa all'oppressione coloniale. Ma il colonialismo francese, seguendo il proprio interesse, accentua ogni giorno di più il suo potenziale repressivo, volendo mantenere il nostro popolo sotto il suo giogo. In data odierna l'Organizzazione della Gioventù Anticolonialista della Martinica dichiara:

Che la Martinica, sotto l'ipocrita maschera di dipartimento francese, è una colonia come lo è l'Algeria, in quanto dominata dalla Francia sul piano economico, sociale, culturale e politico.
Tutto ciò da luogo a:

1) Un'economia unicamente agricola, a carattere feudale.
2) Il predominio di una minoranza béké, legata al colonialismo francese e di fatto monopolista in fatto di terra, fabbriche,  commercio e banche.
3) Un deficit permanente della bilancia commerciale.
4) Il reddito procapite medio più basso al mondo.
5) Disoccupazione e miseria.
6) Insufficienza di scuole, biblioteche, stadi, impianti sportivi.
7) Travisamento della storia martinicana a fini assimilazionisti.
8) La soppressione di qualsiasi impegno vòlto allo sviluppo di una cultura martinicana popolare e autentica. - L’aggravarsi della repressione (Dicembre 59, Marzo 61), l’aumento delle forze di polizia, il costante rafforzamento dell’apparato amministrativo francese, l’immigrazione sempre più massiccia di civili e militari francesi.
9) Il sollevamento di funzionari martinicani che hanno resistito ad arbitrari tentativi di esilio.
10) La condanna di patrioti martinicani.

Si condanna definitivamente lo statuto di dipartimento francese come contrario agli interessi del popolo e della gioventù della Martinica oltre a rendere impossibile qualsivoglia sviluppo.
Si proclama la necessità della collettivizzazione delle terre e delle fabbriche. – Il diritto del nostro popolo a decidere delle sue ricchezze, delle sue risorse e dell'industrializzazione del paese. – Il diritto di tutti al lavoro e a un salario giusto. – La necessità ineluttabile dell'entrata della Martinica nel vasto movimento per la decolonizzazione totale.
Per conseguenza l’O.J.A.M. (l’Organizzazione della Gioventù Anticolonialista della Martinica) afferma che il malessere economico e sociale che imperversa nella Martinica scomparirà solo grazie a un programma martinicano per il bene dei martinicani.
Si proclama il diritto dei martinicani di dirigere le proprie questioni.
Domandiamo ai Guadalupani e ai Guianesi di unire sempre più i loro sforzi per la liberazione dei loro paesi per un avvenire comune. Sosteniamo che la Martinica fa parte del mondo antillano.
Chiamiamo i giovani della Martinica, qualunque sia la loro fede e la loro convinzione, a unirsi per il definitivo abbattimento del colonialismo nella lotta per la liberazione della Martinica.
LA MARTINICA AI MARTINICANI ! »

[fonte: http://politiques-publiques.com/martinique/histoire-le-manifeste-de-l-ojam/]

*
Et puis :

Dans le bruissement des jours : poèmes d'Annick Vigier, esquisses d'Élisabeth Langlade.

L'épée nue de la lumière.  Rudement fort – non ? – dès les premières pages  ! 
Une autre tout de suite ? Celle-là alors, par exemple :  La chaleur mord la terre  aveugle le ciel
Ou encore, un tout petit peu plus loin : Sur nos nerfs  frotte le... Lire la suite

Poésie Arts Peinture
 
*

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