Une page de Jules, présentée par Gérard Allibert.
Cette page, l'ami Jules me l'avait adressée il y a donc plus de quinze ans maintenant. Du coup, et il en faut généralement bien moins que cela à l'oublieuse de mon pauvre logis, je ne me souviens bien évidemment plus du pourquoi du bref incipit de ce poème.
Mais bon, à notre époque de frontières qui se re-barbelérisent joyeusement, ce petit préliminaire conserve, me semble-t-il, toute son actualité.
Comment - de nos jours - peut-on être Persan ? ou Noir ? Ou que sais-je encore, diantre, qui ne soit bon français "de souche" ? !
Quant au texte du poème, en cette présente période de roucoulement électoral, lequel exercice de séduction tourne parfois sous le maquillage outrancier à la tentative de racolage la plus éhontée, je me dis, avec une hypothétique dose de mauvaise foi de ma part (je dis mauvaise afin de ne pas apparaître trop polémique ... mais je n'en pense guère moins :-) ) que lui aussi pourrait bien, éventuellement, être de possible circonstance.
Avec, en marge des phrases de Jules, et en guise de "cadeau-Bonux" exceptionnel, quelques-unes ce ces trognes au moyen desquelles il prenait plaisir à agrémenter ses lettres. Et dont, en traversant la rue toute à l'heure, j'ai bien cru apercevoir certaines collées sur les panneaux de bois ... juste en face le carrefour giratoire.
*
Jules Mougin : une rétrospective... en vue !
Jules Mougin.
Jules Mougin, Jeanne et Serge.
Pages d'écriture par Jules Mougin.
Une dédicace du facteur-poète Jules Mougin.
Jules Mougin. Le billet de Gérard Allibert.
Jules Mougin : Écouflant le 19 mai 1968.
Jules Mougin. Le billet de Gérard Allibert.
Texte de Bernard Clavel.
Préface de Bernard Clavel et aperçu sur Jules Mougin.
Dans les troglodytes de Jules et Jeanne Mougin.
Jules Mougin aux Correspondances. De la part du calligraphe Henri Mérou.
Aujourd'hui, elle porte coiffe blanche et rose par Gérard Allibert.
*
Notre amie Michèle Ducheny consacre deux pages à Jules Mougin dans son Giono et les peintres. Elle l'évoque aussi dans la notice sur Louis Trabuc.
2011, 26 minutes, une vidéo de Bernard Baissat : JULES MOUGIN, hommage.


