Mystérieuse signature...

   Bien mystérieuse signature sur l'un des livres d'or d'une exposition Fiorio ?

Pas tant que cela si l'on sait que Serge avait un voisin prénommé Henri possédant une maison de vacances nommée Le Claux sur la commune même de Montjustin...

La solution tient en trois lettres et un tiret : H C-B !

H C-B et sa fille Mélanie à Montjustin, 1973, photo Martine Franck.

 *

Sur une photo d'Henri Cartier-Bresson

(Portrait d'Yvonne Geniet)

HCB à la BnF
Henri Cartier-Bresson au dessin(1).
Henri Cartier-Bresson au dessin (2).

En feuilletant l'album de l'amitié.

La moisson 1987 à Montjustin

La Mamie et quelques autres.

Henri Cartier-Bresson. In memoriam.

Henri Cartier-Bresson. Une évocation.

Halle couverte de Simiane-la-Rotonde.

Un brin de la vie à Montjustin

Une carte d'Henri Cartier-Bresson.

Henri Cartier-Bresson, chapitre XIII d'Habemus Fiorio !

Le Fonfon

MONTJUSTIN : divers textes.

Comments

[SergeFiorio-blog]

Terre fertile que cet "aspre Luberon" !

Ton anecdote concernant Camus est tout particulièrement savoureuse !

Plus philosophe que ce maréchal-ferrant de Lourmarin, tu meurs !

Sans doute que, ne manquant pas ni d'humilité ni d'humour, Camus aurait apprécié comme nous.

Amitié,

André.

[Fulconis A P]

A ce texte des plus informés comme toujours chez André Lombard, puis-je ajouter ma goutte d’eau du « Dictionnaire illustré du village de Provence » ?

LUBERON, ses Mages. [Mage, magicien, Majo, plus grand]. Henri Bosco : Le Trestoulas, le Mas Théotime « Il y a dans la Haute Provence une montagne qu’on appelle le Luberon. Jadis sur ses hauteurs vécurent des troupeaux de centaures. Le Luberon était un dieu. Du moins les poètes l’affirment. Sources et bouquets d’arbres y attestent encore la présence des nymphes » (Noëls et chansons de Lourmarin). Frédéric Mistral et son « Aspre Leberoun » (Mireio). Alphonse Daudet (ou Paul Arène), Les étoiles. Ponson du Terrail dont un roman débute à Lourmarin. Thyde Monnier : La Combe, dont on dit qu’elle est venue l’écrire sur place. René Char et son ami Albert Camus à Lourmarin dont le vénérable et dernier maréchal ferrant-ferronnier m’avait dit dans les années 1970, avec un humour froid sans doute un peu moqueur à mon égard, sur ma demande « Comment était Camus ? » : « Il jouait bien aux cartes ! », leçon d’humanité... Serge Bec, l’ami : « Encorbello-te O Leberoun ma peirenco paraulo [...] Encorbello-te O Leberoun e leisso ana l’amour... Encorbelle-toi O Luberon ma parole de pierre. Encorbelle-toi O Luberon et laisse faire l’amour... [Poèmes de la Clarencière]. Les deux plus grands peintres de sa Terre, son Ciel et sa Fraternité : Serge Fiorio, l’ami, et Henri Pertus.

André Pierre Fulconis