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Serge Fiorio - 1911-2011.
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  • Actualités de l'œuvre et biographie du peintre Serge Fiorio par André Lombard et quelques autres rédactrices ou rédacteurs, amis de l'artiste ou passionnés de l'œuvre. Le tout pimenté de tribunes libres ou de billets d'humeur.
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8 décembre 2020

Giono en japonais, la suite.

   La dernière traduction de Giono en japonais par les soins de l'ami Satoru Yamamoto vient de paraître en un volume aussi soigné que ceux de ses traductions précédentes ; arborant celui-là également un beau costume, orné comme tous les autres, en couverture, d'une photo, cette fois-ci prise en Trièves par l'auteur lui-même.
Il s'agit des Vraies richesses.

À côté de Voyage en Haute-Provence et de Giono, écrivain né, Satoru a déjà traduit - cités ici peut-être en désordre de parution - Solitude de la pitié, Un de Baumugnes, Regain, Jean-le-bleu, Que ma joie demeure et Le Chant du monde.
Aujourd'hui, alors que c'est le tour, je l'ai dit, des Vraies richesses, voilà que sans rien avoir perdu de son élan autant passionné que persévérant, il met déjà la dernière main au dernier jeu d'épreuves de son encore toute chaude traduction du Grand troupeau pour la faire paraître au début 21.
Ces traductions de Giono sont les seules disponibles au Japon.

Les Vraies RichessesGrand amateur, comme l'on sait, d'écriture manuscrite pratiquée sans discontinuer tout au long de son œuvre, de calligraphie, de signes et de caractères typographiques en tout genre, Jean Giono fut, n'est-ce pas, avec Maximilien Vox, l'un des fondateurs de l'École de Lure. Aussi, ces traductions, n'en doutons pas, n'auraient sans doute déjà pas manqué de combler visuellement l'écrivain rien que par le côté ornemental de leur écriture ici fort soigneusement imprimée.

Satoru ISatoru, Bibi et Henriette Lauga. Photo Naoko.

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