Une lettre du cordonnier Jean-Antoine Giono à son neveu le maçon-carrier Émile Fiorio.
L'ayant d'abord prise, au tout premier coup d'œil sur l'écriture, pour une lettre de la main de Giono jeune puis y lisant « Cher neveu » au début de la septième ligne - ce qui, sur le coup, m'a donc quelque peu désorienté -, je dois avouer qu'il m'a alors quand même fallu, par acquis de conscience, que je révise mes classiques concernant la généalogie et le parentage Fiorio-Giono.
C'est chose faite : Émile Fiorio, le père de Serge, n'est pas cousin avec Jean-Antoine, le père de Giono ; il est bien son neveu et, par voie de conséquence, Serge se trouve donc être son petit neveu.
Mais pour plus de clarté, voici le schéma de la branche en préambule de la lettre.
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Quelques liens :
Instinct nomade n°10 : spécial Giono
Fiorio-Giono, la récolte des olives !
Prix Jean Giono : le jour d'après ?
UN AUTRE POÈTE DE LA FAMILLE.
Giono. Impromptu 8.
Colette évoque Giono dans Flore et Pomone.
Gouache d'illustration d'une scène du Chant du monde
Le premier Giono a bien plus qu'un accent, et alors ?
Fiorio en son magistral portrait de Giono à l'étoile et à la colombe.
Impromptu 8.
Les tribulations du premier Portrait de Giono.
Un de Taninges.
Sur le Deuxième portrait de Giono.1989.
Giono et la peinture.
Portrait d'Aline Giono enfant au lavis d'encre noire.
Giono et les peintres. Le site de Michèle Ducheny.