31 décembre 2019
A l'an que ven...
À l’an que ven : se sian pas maï, que sièguen pas men ; maï se deve iague un mouor que siègue lou pouor !
C'est-à-dire : À l’année prochaine, si nous ne sommes pas plus que nous ne soyons pas moins, et s'il doit y avoir un mort, que ce soit le cochon !
(Car nous voilà bien sûr en pleine période de l'année où l'on tue traditionnellement le cochon...)
Oui, au moment des vœux, je crois qu'il faut prendre précaution et grand soin de souhaiter la réalisation des plus grandes et folles espérances imaginables car l'on sait, par expérience(s), que - Providence mise à part - la réalité seule n'a ensuite, en fait, que toute les peines du monde à leur arriver tout juste à la cheville.
Oui, au moment des vœux, je crois qu'il faut prendre précaution et grand soin de souhaiter la réalisation des plus grandes et folles espérances imaginables car l'on sait, par expérience(s), que - Providence mise à part - la réalité seule n'a ensuite, en fait, que toute les peines du monde à leur arriver tout juste à la cheville.
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