Sur Internet.
«Traduttore, traditore ! » : aujourd'hui plus qu'hier, et ce n'est rien de le dire puisque les machines elles-mêmes se mettent à traduire ! non pas très mal, pire : MACHINALEMENT ! Quand vous ne connaissez pas le sujet, il est impossible de s'y retrouver ! et quand on connaît, ça vous tord les boyaux en diable ! sans parler de l'orthographe et, bien sûr, de la typographie !
Des pourceaux informatiques ! rien d'autre.
Voici un extrait de ce morceau de choix trouvé sur la toile :
Serge Fiorio est né le 11 Octobre 1911 à Vallorbe en Suisse, le fils de parents piémontais. Aventurier et actrices sang mêlé dans la famille de son père. La mère était l'enfant d'un jardinier du château dans le Piémont. F. passé son enfance en Suisse la moitié, moitié à Turin. Finalement, la famille s'installe près de deux décennies à Taninges en Haute-Savoie bas. Le garçon incroyablement imaginative a fréquenté l'école du village, après la tentative de le placer dans un pensionnat, avait échoué à son mal du pays.
Quand il a travaillé après l'école dans la construction de routes de la compagnie de son père, il a peint avec le porc fait maison poils des brosses ses premières peintures à l'huile. Il peint principalement son environnement: le panier, avec laquelle il a dû transporter le gravier dix heures par jour, marteau et boutons pour les frais et ses camarades. Un jour, l'écrivain Jean Giono apparu et avait son portrait peint. Le succès de ce travail encouragé F., pour commencer une nouvelle œuvre majeure «Le Printemps. Il avait peu de temps pour elle, car par beau temps le travail était la priorité de la route, dans de mauvaises conditions d'éclairage étaient souvent le ...
Mais, dans tout ce fatras, il y a quand même ce raccourci, magnifique comme un sacré tour de magie — malgré la faute d'orthographe : « Un jour, l'écrivain Jean Giono apparu et avait son portrait peint. »
Sacré Serge ! ça, tu ne nous l'avais pas dit ! et sans cette traduction automatique, nous n'en aurions rien su !